Le bénéficiaire, de son côté, se sert de cette immersion pour confirmer un projet professionnel ou une reconversion grâce à des situations réelles de travail.
- Bénéficiaires d’un accompagnement social ou professionnel personnalisé, qu'ils soient demandeur d'emploi (inscrit ou non à Pôle emploi), adhérent à un contrat de sécurisation professionnelle (CSP), jeune suivi dans le cadre d’un CIVIS ou de la Garantie jeunes, allocataire du RSA, salarié en contrat aidé (contrat unique d’insertion y compris en emploi d’avenir)…
- Et prescription de l’immersion par un organisme (Pôle Emploi, mission locale, Cap Emploi, structure d’insertion par l’activité économique…)
Un mois maximum renouvelable sous conditions
L’employeur doit signer une convention avec l’organisme prescripteur et le bénéficiaire. Cette convention doit préciser les conditions de l’activité et désigner un tuteur pour toute la période d’immersion (durée, fonctions exercées, horaires…).
- pendant la période d’immersion professionnelle dans la structure d’accueil les bénéficiaires au chômage conservent leur indemnisation ;
- les demandeurs d’emploi bénéficient d’une couverture sociale. ;
- ils doivent respecter les règles applicables aux salariés : règlement intérieur, durée du travail, hygiène et sécurité…
- les salariés en contrat aidé ou en insertion, en accord avec leur employeur, peuvent bénéficier d’une période d’immersion professionnelle. À l’issue de celle-ci, ils retrouvent leur poste de travail.