Olivier Forner, mentoré : Le mentorat a réveillé mes ambitions

Olivier Forner est le créateur et le président de b-flower, cabinet conseil en management et organisme de formation. Entrepreneur d’expérience, il a voulu être mentoré par l’IME pour aller encore plus loin.

Conduite du changement, transformation des entreprises, montée en compétences du management et des forces commerciales, tous ces sujets, Olivier Forner les maitrise parfaitement pour ses clients. Avec humilité et curiosité, il a voulu, lui aussi, se poser les bonnes questions pour stimuler la croissance de b-flower, son entreprise. Rien de mieux, alors que d’être mentoré dans le cadre de l’Institut du mentorat entrepreneurial (IME) de la CCI Paris Île-de-France.

 

Quelles étaient vos motivations pour entrer dans la démarche de mentorat de l’IME, en 2017 ?

b-flower existait depuis 18 ans et réalisait 3 millions de chiffre d’affaires. Le moment était venu d’échanger avec un mentor d’expérience pour redonner de l’élan à la croissance. Le métier de la formation professionnelle et du conseil est depuis quelques temps, bousculé, soumis à de nombreuses réformes et autres mutations. Les opportunités marché en croissance externe et pour hyper croître existent. Encore faut-il concrétiser ce besoin de changement et prendre les risques nécessaires.

 

Votre mentor, Yoann Hébert, vous a suivi pendant 18 mois. Quels ont été les temps forts de cette relation mentorale ?

Chaque rencontre était hyper dynamisante et réveillait mes ambitions. La confiance s’est vite installée, les complémentarités aussi. J’ai une approche métier que je connais bien. Yoann Hébert est beaucoup plus orienté finances, dans une démarche très structurée. Il a posé les bonnes questions qui m’ont permis de voir plus loin. Plutôt que de temps forts, je parlerais d’un vrai processus de maturation pour ouvrir les angles.

 

Le mentorat a-t-il eu un impact sur vos pratiques de chef d’entreprise ?

Partager le savoir-faire d’un pair et sur une longue période est très efficace pour un entrepreneur. Les habitudes, les expériences installent des freins irrationnels, pour la plupart. Le mentorat vient les lever, en toute bienveillance, sans jugement et d’une manière très pragmatique. Mon mentor est plus jeune que moi, une sorte de force tranquille. Je me souviens du premier entretien. Nous avons senti instinctivement, l’un et l’autre, que nous pouvions faire mieux, ensemble. Mais, il n’a jamais soufflé aucune décision. Elles sont le fruit de discussions qui m’ont challengées.

 

Quels ont été les effets du mentorat sur votre entreprise ?

La stratégie de b-flower a évolué vers moins de diversification et l’organisation a été simplifiée. Je me sens serein pour tenter une croissance externe et opérer d’importants investissements. Et pour éviter de retomber dans l’isolement du chef d’entreprise, j’ai associé le directeur général de b-flower au capital. Nos échanges réguliers sont importants. Toutes ces évolutions découlent de l’effet bénéfique du mentorat. Vous l’avez compris, je recommande !

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Florence Rubat-Ciagnus, Chef de projets IME

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