Créée en 2013, CREATYM France s’est spécialisée dans les services d’ingénierie, de conseil et d’études techniques.
« Aujourd’hui, notre offre de prestations couvre 6 secteurs d’activité, allant de l’industrie pétrolière jusqu’aux énergies nouvelles », explique Jonathan Stadelmann, fondateur de la société. « En pratique, cela nous permet de fidéliser nos clients en les suivant sur différents projets, tout en offrant à nos salariés la possibilité d’élargir leur champ d’intervention et de monter en compétences ». Placer l’humain, l’expertise intellectuelle et la création de valeur ajoutée au cœur de son développement : force est de constater que la jeune entreprise défend une approche qui va à contre-courant de bon nombre d’acteurs dans le domaine.
Un marché dynamique
« Notre objectif consiste à offrir à nos collaborateurs un vrai suivi de carrière, en adéquation avec leurs ambitions », précise Jonathan Stadelmann. « Ainsi, nous intégrons à ce jour pas moins de 12 métiers différents ! ». Une démarche favorisant un climat social propice et stable, dont témoigne notamment le faible turnover au sein de l’entreprise. Autant d’arguments permettant d’attirer de nouveaux talents… Et pourtant ! « Si nous évoluons dans un marché dynamique, nous rencontrons une vraie pénurie de ressources », analyse le fondateur de CREATYM. « Tandis que d’autres secteurs affichent un taux de chômage élevé, nous avons du mal à recruter… ». Implantée sur deux sites, à Massy et à Montélimar, l’équipe réunit aujourd’hui 37 collaborateurs. Et ce n’est que le début! « Jusqu’à cet été, nous étions hébergés au sein de la pépinière d’entreprises de la Morangeraie, gérée par la CCI Essonne », explique-t-il. « L’adaptabilité des locaux et leur superficie évolutive ont été de vrais atouts pour accompagner notre croissance ». De la souplesse, mais aussi un environnement avantageux ! « En plus de nous permettre d’échanger avec d’autres entrepreneurs et de nous apporter un regard extérieur sur le projet, l’appui de la CCI nous a permis de nous orienter dans la recherche de financements », conclut-il. « Sans hésiter, cela a été une aide importante pour bien démarrer notre activité! ».
Interview plubliée dans les Echos le lundi 13 novembre 2017